/* Il est bon de réaliser, qu'a chaque jour vécu, mes sentiments envers les belles choses de la vie s'affinent et deviennent plus dévouées au sentiment lui même, il est aussi bon de réaliser que l'esprit en cet état est libre de toute chaîne vouée a la rouille, et que les pensées et intentions sont aussi fraîches et pures qu'un nouveau né, ces choses n'ont pas d'égal et la joie les accompagne dans tous les cas... Je découvre, oui, que je suis loin du passé, et que par la grâce du seigneur, les chaînes qui retiennent l'instinct et qui brisent l'âme se sont détériorées loin de mon pauvre être, voué et dévoué a la vie comme a la mort. Ces sentiments je les ressent aux ténèbres de l'esprit, la ou tout amalgame entre réalité et rêve est omniprésent, et il n'est pas toujours évident de les porter, les sentiments, pendant quelques instants c'est la gaieté, qui soulève et qui porte loin sur les montagnes, la ou l'air n'est pas infect de perfidie matérielle, en d’autres moments c'est la pestilence de chaque minute du monde qui pèse et qui assombri ce que la senteur fraîche des forets à purifié. Sentir est aussi la faculté de se plier a soi et aux instincts les plus profonds, des instincts qui sont souvent mélangés aux sentiments, pour faire de l'humain ce qu'il doit être, ici il n'est pas question d'exemple ou de modèle, c'est surtout le manque terrible, des bribes d'exemple qui n'est pas exempt d'erreurs, mais qui avance vers l'effort d'être ce qu'il doit. Sentir c'est connaître l'autre et les choses avec compassion, et amour, loin de toute hypocrisie ou comportement malsain, c'est aussi et en même temps le manque d'échange avec l'autre essentiellement du coté humain et relationnel, il m'est désolant de ressentir ce manque partout en l’exemple, il m'est aussi décevant de constater la faiblesse en lui celle des sentiments. Oui ils affaiblissent et provoquent des crises de cruauté, d'autodestruction... Mais tout le monde sait que les peintres, poètes, musiciens et autres sont des êtres machiavéliques, malsains excentriques… L'enfer est la parfaite illustration de la solitude, la même qui fait sentir et ressentir les bonnes choses, une solitude mélancolique qui passe facilement au chaos des que le besoin s’en fait nécessaire, elle passe au chaos et aux ténèbres des que les événements centrent l’exemple. C'est décevant de la part d'une si belle chose, qui crée un état de schizophrénie et de déchirement entre le mal de soi et des autres. Une balance entre les maux et le désir de servitude de la vie et des enfants de la vie. C’est un déchirement qui fond l’exemple dénué d’égoïsme en plusieurs parts qui réclament indépendamment leur indépendance. Toute notion dépends d’un point de vue, et l’esprit tordu d’un artiste dépend de la fenêtre par laquelle un humain voit la vie. Un artiste ressent la vie et la mort, et la contradiction parfaite de ses deux choses ne peut qu’aggraver un état d’esprit déjà tourmenté par de fatales afflictions. */ Mojrem@gmail.com désolé pour les virgules et les les ;